Restaurant ou pas!? (Libre)

Après une dure matinée de cours, mon ventre grogne comme un lion voulant s’affirmer et me dominer. J’accrochais dons mon sac marron/jaune à mes épaules dès que la sonnerie pour pouvoir me lever et quitter cet endroit pour quelques heures de libertés. Je me dirigeais vers ma voiture qui était d’un beau blanc nacré, en même temps que je m’avançais vers mon véhicule, je plongeais ma main au fond de mon sac à main afin de trouver mes clefs. Je vagabondais le ventre vide dans les rues de Belleville, puis au bout d’une dizaine de minutes, je m’approchais d’un parking non loin d’un chic restaurant ou Nate m’avais donnait rendez-vous. Oui, on parle bien du même Nate, celui qui ne peux s’empêcher de me parler de mariage entre lui et moi à longueur de temps alors que je n’éprouve aucuns sentiments à l’égard de celui-ci, ou peux car ses yeux étaient d’une splendeur incroyable ! Je me garais donc près de notre point de rendez-vous, mis mon portable dans mon sac et pris mon courage à deux mains avant de sortir de ma voiture. J’étais devant la porte du restaurant, par politesse, le portier vint m’ouvrir la porte, j’entrais, humant l’odeur alléchante des cuisines qui venant se frotter contre mes narines. Je vis Nate assis, une rose à la main, me tournant le dos, je m’approchais en autant mon béret de la tête, serrant mes bras contre mon gros manteau, puis eu un moment d’hésitation. Je souris, puis fis demi-tour vers la sorti. Je me dirigeais vers le central parc de la ville pour y admirer les chiens courir après un frisbee, une fillette tomber, son père accourant et ramassant son cerf-volant, les cygnes au bord du lac, les vieux parler des heures sur un banc pour dire mille fois la même chose, les jeunes femmes à vélo et celle qui promène leur bébé en poucette… Je m’autorisé une glace aujourd’hui, et partis m’asseoir sur un banc près du lac. Du coin de l’œil, je pouvais voir une personne me regarder avec insistance, sans relâche, puis j’examinais la personne à mon tour, et son visage me paru non pas familier, mais… Je connaissais cette tête, je me levais pour rencontrer l’inconnu qui se présentait à moi…